Envie d’acheter une orchidée en pot ? Ou bien quelqu’un vous l’a offert en cadeau, et vous voulez la faire durer le plus longtemps possible ? Sachez qu’une orchidée est une plante fragile et qui demande des soins particuliers pour qu’elle puisse fleurir avec aisance et en toute tranquillité. Voici quelques conseils et astuces pour l’entretien de votre orchidée d’intérieur.

L’entretien à prévoir

Avant toute chose, il est important de connaître le nom et la caractéristique de votre plante. C’est important car cela vous permet de connaître l’entretien à prévoir. Dans le cas contraire, il est conseillé de se renseigner en ligne ou auprès de votre revendeur. Le choix du pot est indispensable. N’arrosez pas votre plante tous les jours, ce procédé est seulement indispensable lorsque ses racines commencent à prendre une couleur blanc-grise. L’utilisation d’un pot en plastique transparent est donc conseillée. Le rempotage est nécessaire uniquement si votre orchidée est devenue trop grosse et que son pot ne soit plus suffisant. Signe : les racines commencent à s’en échapper. Sachez que les orchidées d’intérieur ne supportent pas l’exposition au soleil, et qu’elles nécessitent de l’engrais spécial faiblement dosé.

L’arrosage et le rempotage de l’orchidée

Ce sont deux points importants pour l’entretien de votre plante. Il est fortement conseillé de l’arroser en fonction de la couleur de ses racines. S’ils commencent à blanchir, cela signifie qu’elle a soif. Utilisez un cache-pot et remplissez-le de l’eau du robinet. Laissez votre orchidée trempée pendant quelques minutes. Elle est réhydratée si ses racines reverdissent. Laissez le pot bien égoutté et vous pouvez le remettre dans le cache-pot. Votre orchidée doit rempoter si son pot semble être insuffisant, notamment tous les deux à trois ans. L’idéal est juste après sa floraison. Retirez minutieusement la plante de son pot et enlevez le substrat. Commencez à couper les racines abîmées et desséchées. Utilisez un nouveau pot légèrement supérieur à l’ancien. Sachez que les orchidées aiment pousser dans un endroit plutôt étroit.

Comment nourrir son orchidée ?

Afin d’avoir un résultat satisfaisant, il est conseillé d’utiliser des outils et accessoires dédiés spécifiquement pour les orchidées, comme le substrat, les engrais, les pots,… Vous pouvez trouver facilement vos équipements chez votre revendeur agréé ou en faisant une recherche sur Internet. Pour nourrir votre orchidée, il est conseillé de pulvériser ses racines avec des engrais. Vous pouvez aussi tremper la motte dans une solution préparée. Pour cela, diluez l’engrais dans de l’eau tiède et laissez reposer pendant quelques minutes. Ce procédé est nécessaire tous les 15 jours.

Généralement, un salon rime avec la pièce la plus spacieuse d’une maison. Y créer un décor avec des plantes est donc possible. En plus de se doter d’un effet déstressant, celles-ci améliorent grandement la pureté de l’air et permettent d’égayer la déco d’une pièce. Toutefois, pour cela, des aménagements spécifiques sont à étudier afin d’obtenir le meilleur rendu.

En groupe

Sachez que pour donner une impression de volume et un air plus charmant à votre salon, vous pouvez disposer diverses plantes en groupe. Les positionner sur un banc ou un rebord est donc tout à fait envisageable. Aussi, il peut être intéressant de les placer dans des pots de différentes tailles ou de les accumuler à différentes hauteurs dans un petit coin de votre pièce.

De même, vous pouvez les installer sur vos meubles (étagère, caisses en bois, échelle, bibliothèque, etc.) ou encore la cheminée. La composition peut se faire en dépareillant les plantes (coupes, couleurs, types, fleurs, etc.) ou uniquement avec des plantes grasses. Pour un plus bel effet, n’hésitez pas à ajouter des plantes à feuilles colorées ou panachées, ainsi que d’autres articles de déco.

Une seule plante

L’installation d’une seule plante dans le salon reste une idée à la fois classique et indémodable. Pour cela, une grande plante ou à grand feuillage demeure une valeur sûre. L’idéal est de le mettre dans un pot au design branché ou dans un cache-pot en jute ou en osier. Veillez juste à ce qu’elle reçoit assez de lumière, suffisante pour son épanouissement.

Pour son emplacement, pensez à un coin précis. Vous pouvez, par exemple, l’installer près de la porte ou d’une fenêtre. Notez qu’une seule plante peut amener une réelle touche d’originalité à votre intérieur et s’accorde aisément avec le reste de vos décors.  

En suspension ou en mur végétal

Pour végétaliser votre salon, rien de mieux qu’une installation de plantes en suspension. Très en vogue, cette technique consiste à suspendre une ou plusieurs plantes dans un coin spécifique. Pour une jolie structure et un résultat plutôt graphique, vous pouvez mettre vos plantes dans des contenants conçus avec un même matériau ou rompre et éviter la monotonie en optant pour des contenants totalement différents. Si vous penchez pour la dernière option, laissez libre cours à votre créativité. Concernant leur agencement, privilégiez leur installation à des hauteurs décalées et alternées.

Si vous préférez un mur végétal, pourquoi ne pas camoufler la structure de vos étagères à l’aide de plantes tombantes et touffues ? Une idée est aussi d’accrocher les plantes sur des bases espacées afin qu’elles retombent comme un rideau sur le mur. Néanmoins, rien ne vous empêche d’opter pour un modèle avec plusieurs petites plantes. L’idéal est de les placer dans des casiers intégrés.

Les plantes sont des être vivants nécessaires pour l’équilibre de l’écosystème. Il est indispensable de les multiplier pour faire face aux problèmes environnementaux actuels. Il existe différentes méthodes d’obtenir une nouvelle plante à partir de la plante mère. En plus de l’avantage écologique, ces systèmes sont également économiques.

La méthode par semis

Le semis est une technique de multiplication des plantes utilisant les graines ou les semences. Cette méthode est intéressante pour reproduire les arbres fruitiers oléagineux (orange, tomate, raisin, pêche, etc.) et les légumes (salades, citrouille, haricot, etc.). Il nécessite de respecter les conditions et les saisons favorables à la germination des graines, étant donné qu’elles sont sensibles : température environnante de 20°C, luminosité et humidité moyenne, printemps, été,…

Pour réaliser le semis, il faut placer la graine dans un trou d’une profondeur de 3 fois le diamètre de la graine. Ensuite, recouvrez-la de terre et arrosez-la, avec un peu d’eau. Surveillez la germination de la graine, en l’arrosant régulièrement. Si les conditions sont respectées, les premières pousses devront se voir après quelques jours.

La technique de bouturage

Le bouturage est une technique de reproduction végétative, consistant à prélever et à planter une partie de la plante mère. Pour certains arbres, fleurs ou plantes sans graines, l’organe végétatif utilisé peut être prélevé sur des feuilles, des bourgeons, des racines ou des tiges. On peut citer par exemple le géranium, le rosier, le figuier, etc.

Pour le bouturage de tige, coupez-en un morceau non-lignifié d’environ 10 à 15cm qui comporte au moins 3 nœuds. Enlevez toutes les feuilles et bourgeons s’y trouvant, car ils épuisent l’énergie susceptible de former la nouvelle racine. Planter la bouture dans un terreau bien stérile et humide. Pour favoriser sa croissance, vous pouvez la couvrir d’un sac transparent. Placez la bouture dans un endroit chaud, mais à l’abri du soleil. Les racines devront apparaître dans quelques semaines.

La technique du marcottage

Le marcottage est une technique similaire au bouturage de tige. À la différence de ce dernier, la tige à marcotter, est fixée à la plante mère. Plusieurs techniques peuvent se faire pour marcotter une plante, en fonction de son genre. Pour les arbres rampants par exemple, le marcottage en serpenteau est intéressant. Il consiste à enterrer une très longue tige, mais assez distante de la plante mère pour qu’elle puisse s’enraciner sans difficulté. Quant aux plantes difficiles à enraciner, appliquez le marcottage aérien. Pour se faire, incisez légèrement la tige. Fixez-y un manchon de terreau et étanche. L’enracinement se fera à l’air. Replantez les plantes indépendamment de la formation de la racine.  

Les escargots apparaissent quand le beau temps arrive. Ils sortent de leur torpeur hivernale pour se nourrir principalement des jeunes pousses et des feuilles tendres. Ils s’attaquent même aux tiges et aux fleurs lorsqu’ils deviennent trop nombreux. Comment donc chasser ces fléaux insatiables ? Pour remédier à cela, il existe des techniques sans effets pour l’environnement et des astuces écologiques que vous pouvez tester.  

Créer une barrière anti-escargots infranchissable

Pour protéger vos plantes sensibles, il faut créer une barrière anti-escargots infranchissable. Pour en faire, mettez régulièrement autour de vos plantations des matières qui collent aux pattes ou sont râpeuses. Vous pouvez verser par exemple des coquilles d’œufs concassées à proximité des plantes à protéger, car les escargots ont peur de circuler dessus. Les cendres de bois, les copeaux de bois, les sciures peuvent stopper également leur progression. Les poils de chat ou de chiens ou même des cheveux récupérés après une coupe sont aussi des textures rugueuses qui freinent les escargots. Pour information, toutes ces barrières doivent être renouvelées après chaque pluie. Les escargots n’apprécient pas également le paillage avec du chanvre, car cela forme une barrière infranchissable qui attache à leur ventre et les empêche de circuler.   

Comment éliminer les escargots ?

Pour éliminer définitivement les escargots, le pamplemousse est un outil efficace. Il suffit de retourner un demi-pamplemousse, dans lequel vous aurez vidé le contenu, à côté d’une plante infestée. Les escargots s’en serviront comme abris et il ne vous reste qu’à les ramasser facilement au petit matin pour vous en débarrasser. Vous pouvez également poser des pièges à bière fabriquée à partir de la bière sans alcool à côté de leur lieu de passage. Les mollusques gastéropodes vont en boire et s’y noyer. Disposez des tuiles humides, des planches en bois ou des pierres. Posez-les aux endroits stratégiques, les escargots s’y réfugient pendant la nuit, et il vous suffit de soulever ces équipements dans la journée et de les accueillir.

Attirer au jardin les prédateurs naturels des escargots et des répulsifs anti-escargots

Certains animaux se nourrissent d’ escargots. Ces principaux prédateurs sont les grenouilles, les crapauds. Attirez-les donc dans votre jardin en créant une mare à proximité. Faites venir également des hérissons dans vos plantations par la création d’un abri à hérisson. Les poules aussi raffolent des escargots. S’il est possible de les laisser en liberté dans le jardin, laissez-les donc chasser ces fléaux insatiables. Enfin, vous pouvez utiliser aussi des répulsifs anti-escargots comme le gingembre, persil, thym, la menthe, sauge et surtout la consoude.      

Les plantes succulentes ou plantes grasses sont celles qui peuvent vivre dans des conditions arides c’est-à-dire dans le désert. Elles peuvent stocker de l’eau comme un suc dans leurs feuilles ou les racines ou les tiges. Vous pourriez citer les cactées qui sont d’origine d’Amérique ou d’Afrique ainsi que tous les bords de la Méditerranéenne.

Des plantes faciles et décoratives

Les plantes succulentes ne nécessitent aucun soin en particulier. Elles n’ont pas besoin de fréquents arrosages ou d’engrais ou de rempotage ou même de taillage. Pour leur donner de l’eau : il suffit de mettre leur pot troué dans un bassin rempli d’eau pour quelques heures ainsi de les laisser égoutter. Mais par contre, pour leur croissance, elles doivent se placer sous une grande lumière de soleil. Donc pendant l’été ou la période chaude : mettez les près de la fenêtre ou dans le jardin ensoleillé. Elles sont alors très prises pour décorer un endroit exceptionnel de la maison. Certaines personnes les plantent dans des bocaux ou des boîtes à recyclés. Pour faire une composition : elles sont aussi idéales comme les répartir sur une grande largeur de sol et les recouvrir de terre ou de graviers.

Les plantes succulentes généreuses et avec honneur

Les plantes grasses sont des végétations simples à entretenir comme dans la méthode de les bouturer. Vous pourriez découper soit une petite feuille soit une petite tige et la laissez cicatriser quelques jours sous la chaleur du soleil. Laissez la plante ensuite dans un mélange humide ainsi que léger comme de la terre et du sable. Au bout de plusieurs semaines, une fois que les racines de celles que vous avez plantés sont poussées alors vous pourriez les déplacer et les rempoter. En général, il existe 250 espèces de plantes succulentes qui se situent en Amérique, en Asie ou même à Madagascar. Elles seront représentées dans un arboretum le 21 Octobre prochain.  

Les conditions de la poussée des plantes grasses

Les plantes succulentes ont besoin de beaucoup de lumières comme les rayons de soleil. Cela doit durer toute l’année. C’est bénéfique pour les végétations qui viennent de la terre aride. Pour les arrosages : elles doivent être arrosées une fois par mois pendant toute une année. La manière de la faire est de tremper le pot troué où elles se trouvent dans du récipient rempli d’eau pendant une heure entière, c’est validé pour une plantation intérieure. Par contre pour celle qui est à l’extérieure, seule la pluie lui suffit.Il vaut mieux qu’elle manque de l’eau qu’en avoir un excès. Elle supporte la chaleur dans votre maison mais pendant l’hiver, elle va faire un repos végétatif indispensable.  

Vous aimez embellir votre jardin ou l’intérieur de votre maison avec les bonsaïs chez vous ? Alors, on va vous aviser des points importants pour les caractéristiques de ces arbres et vous conseillez des meilleurs arbres à employer en bonsaï pour que vous sachiez choisir et comprendre le mécanisme de ces merveilleux arbustes.

Qu’est-ce qu’un bonsaï ?

Un bonsaï est un arbre nain d’origine traditionnel chinois, mais plus connu comme primitif de Japon, il est obtenu à partir de la ligature ou la coupure des racines prélevées par des arbres sauvages. Le nom bonsaï vient étymologiquement des mots « bon » et « saï » qui veut dire arbre et pot, d’où son implantation dans un pot. C’est une version miniature d’un arbre utilisé comme décoration. Sa hauteur ne dépasse même pas les 16 centimètres. Mais, planter un arbre ne suffit pas pour avoir un bonsaï, l’entretien de cet arbre est très particulier que vous allez découvrir ci-après.

Pourquoi un bonsaï pousse à une grande vitesse et s’arrête à une position réduite ?

Généralement, le bonsaï est cultivé toute sa vie dans un petit pot. Ce mode de culture est tenu à cause de la limite des ressources naturelles. Et puisqu’il est cultivé dans un pot, ses branches sont continuellement taillées, il reste toujours dans un état arbuste, car les feuilles apparaissent de plus en plus, seulement la taille du pot reste inchangée. Ce qui entraîne une répétition de la taille des arbres. C’est pourquoi vous ne verrez jamais un bonsaï de taille spacieuse, il est toujours débranché pour convenir à son récipient.

Quels arbres cultiver pour avoir les meilleurs bonsaïs ?

Vous avez une multitude de choix pour débuter, mais au premier rang, les conifères sont les plus conseillés à cause de leurs capacités à supporter la taille, en plus c’est très facile à cultiver et entretenir toutes les saisons. Puis, vous avez les arbustes à baies comme le myrte et les arbres à port trapu, ils résistent bien aussi en pot et possèdent de nature la forme du bonsaï. Ensuite, il y a les érables du Japon, pour ceux qui ont déjà de l’expérience par rapport à la culture du bonsaï. L’érable du Japon est aussi très apprécié par les amateurs grâce à la splendeur de sa couleur. C’est le plus résistant parmi les arbres utilisés en bonsaï.

Enfin, si vous débutez dans la culture de bonsaï, achetez plutôt avec les moins chers pour apprendre avant de vous lancer au cœur de cette culture.

Le bonsaï est un petit arbre qui se cultive en pot tout au long de sa vie. Comme tout arbre, il nécessite d’être entretenu et tailler régulièrement. En effet, il doit être coupé au moins 10 fois pendant une saison pour garder sa silhouette. Mais quand faut-il tailler un bonsaï et comment bien le tailler ?

Comment tailler un Bonsaï ?

Un bonsaï est un arbuste qui se cultive en pot tout au long de son existence. Cette pratique vient du Japon et elle s’est propagée très vite dans le monde entier. Comme tout arbre, un bonsaï doit être entretenu régulièrement pour qu’il ait une longue vie. Tailler cet arbre nain nécessite cependant des techniques particulières qui se différencient des arbres simples. En effet, pour tailler un bonsaï comme il faut, il est important de prendre en compte la structure de l’arbuste. En effet, un bonsaï en pleine croissance et un bonsaï formé ne sont pas taillés pas de la même manière. Vous devez alors prendre en compte la taille de votre sujet avant de le couper ou le tailler. Cela permettra d’affiner la silhouette de l’arbre et de lui donner une meilleure forme.

Comment tailler un Bonsaï déjà structuré ?

Pour un bonsaï ayant déjà atteint sa forme définitive, munissez-vous d’un ciseau à bonsaï. Si vous n’en avez pas, il vous suffit de prendre un ciseau moyen destiné à la coupe d’une couverture. Mettez ensuite votre arbuste sur une table pour que vous puissiez bien l’observer. Analysez bien les tiges trop longues et coupez-les afin que votre arbre reprenne sa forme. Faites comme si vous coupez une haie de jardins et coupez les tiges qui dépassent. Soyez bien précis dans vos gestes, car une erreur peut créer une grosse lacune dans votre arbuste. Vous pouvez effectuer ce geste à chaque fois que votre petit arbre a besoin d’une coupe.

Comment tailler un bonsaï en pleine croissance ?

Pour tailler un bonsaï qui n’a pas encore atteint sa forme définitive, vous devez prendre de nombreuses précautions. Ainsi, mettez votre arbre à la bonne hauteur pour que vous puissiez l’observer calmement. Observez bien la forme de votre arbre et analysez les tiges qui doivent être enlevées. Pour donner une apparence de bonsaï à votre arbre en formation, la première coupe doit être faite avec délicatesse. Évitez donc de vous précipiter, car l’allure de votre arbuste dépend de votre patience. Procédez petit à petit et prenez tout votre temps. Vous obtiendrez ensuite une belle forme en cône, en boule ou en nuage.

Nombreuses sont les plantes qui ne résistent pas au froid, parmi elles se trouvent les fleurs. Cependant, certaines plantes fleurissent toujours même pendant la saison hivernale et le contact avec de légères gelées favorisent leur floraison.

Quelles sont les fleurs qui supportent mieux le gel ?

Il y a ce qu’on appelle l’agave, une plante grasse qui résiste parfaitement aux températures très basses et survit pendant tout l’hiver sans aucun problème. Souvent, elle se trouve en rocaille.

On a également le dasylirion, une autre plante grasse. C’est une très belle plante sous la forme d’une boule avec des centaines de feuilles longues et très fines. Le dasylirion se trouve dans les montagnes et dans les collines rocailleuses.

Puis l’aster, qui est une plante vivace de taille très haute, résiste également bien à l’hiver.

Il y a aussi la campanule, une fleur en cloche ou en étoile, très charmante. Elle fleurit en printemps ou en été. Avec ses petites touffes, les couleurs varient du blanc au bleu violet en passant par le rose.

Comment protéger les fleurs contre le gel ?

A cause du froid, du givre apparaît dans le jardin ou sur le sol. Cela fait geler des fleurs. Arrosez les fleurs le soir avant le coucher du soleil. Puisque l’air froid s’accumule autour des fleurs, soufflez-les avec un ventilateur électrique dans la direction des fleurs. Cela empêche la rosée de geler et d’endommager ainsi les racines de la plante. Utilisez les couvre-rangs ou la toison de jardin pendant l’hiver pour créer un endroit plus chaud en dessous. Coupez une bouteille en plastique transparent en deux. Placez la moitié supérieure sous forme de cloche sur la fleur. Gardez le couvercle fermé par une journée ensoleillée pour garder la chaleur et enfoncez bien les cloches dans le sol pour les empêcher de s’envoler.

Les dégâts causés aux plantes par le gel 

Ce sont surtout les fleurs extérieures qui sont les plus touchées par le froid. De nombreux problèmes apparaissent tels que l’affaiblissement qui peut être mortel pour les fleurs. Pour savoir si les fleurs ne résistent pas au froid, observez les formes des branches et des feuilles qui deviennent sèches. Le feuillage se décolore ou devient brun. Les fleurs qui ne résistent pas au gel subissent des gerçures qui sont reconnaissables par la brûlure des feuilles. Elles deviennent desséchées et se recroquevillent, sans aucune trace de fil d’araignée. Par-dessus, il n’y pas de poudres noires ou blanches, les traces de boursouflures n’existent pas. La mort des fleurs qui ne supportent pas le froid survient d’une manière brutale.

Il existe des milliers d’espèces de fleurs et chacune d’elles a des caractéristiques particulières. Pour toutes les connaître, il faut être botaniste, paysagiste ou tout simplement être un amateur passionné des plantes. Chaque fleur possède également une signification lorsqu’elle est offerte. Voici quelques spécimens exprimant de beaux messages.

Les fleurs symbolisant l’amour sensuel et passionné

Autrefois, au lieu d’écrire de longues lettres, il suffisait parfois d’envoyer des fleurs afin que la personne à qui elles étaient destinées puisse juger des sentiments de l’expéditeur. Par exemple, les courtisans qui désiraient exprimer leur affection de manière enflammée envoyaient : des Jacinthes, des Glaïeuls, des Freesias ou des Tulipes à leur bien-aimée. Ce sont de belles fleurs colorées. Il suffisait simplement d’offrir un bouquet mêlant ces différentes variétés afin de provoquer l’émotion des destinataires. Elles expriment le désir de séduction ou d’union charnelle. Actuellement, les fleurs symbolisant également la sensualité, ce sont les Orchidées. Sinon, les roses sont des fleurs stars en termes d’amour. Elles expriment facilement le degré d’affection qu’une personne porte à une autre.

Les fleurs symbolisant la tendresse des sentiments amoureux

D’autres fleurs peuvent aussi inspirer de la tendresse et des sentiments amoureux sans pour autant tomber dans l’excès de flatterie. Les significations de certaines d’entre elles sont nuancées. L’Hortensia est par exemple le symbole d’un amour naissant. Le fait d’en offrir constitue une déclaration d’attachement. L’envoyeur espère donc être aimé en retour. C’est également ce qu’exprime la Violette. C’est le symbole d’un amour timide et d’une approche modeste. En offrir sous-entend une approche amoureuse pudique nonobstant de sincérité. Sinon, le Géranium, les Azalées ou l’Iris sont des fleurs qui aspirent à la confiance. Les offrir à quelqu’un indique que le fait d’être proche de cette personne est un bonheur partagé.

Les fleurs symbolisant le respect, l’amitié et la confiance

Enfin, certains spécimens de fleurs formulent le respect. Les Pensées et les Magnolia sont les fleurs qui relatent le mieux ce sentiment. Les pensées révèlent la considération profonde qu’une personne porte à une autre. Les magnolias symbolisent quant à elles la confiance durable qu’une personne accorde. Puis, vient la Jonquille qui déclare à son destinataire que son envoyeur a une grande estime et de la sympathie pour cette personne. Les fleurs représentant également les grandes amitiés sont les Glycines et les Tournesols. Ces fleurs aux couleurs chatoyantes sont de parfaits emblèmes de joie. Il est courtois de les offrir à des amis ou à des collègues. Leur aspect graphique apporte des couleurs et un aspect chaleureux dans une pièce.

Rien n’est plus agréable que de voir un magnifique bouquet dans le salon ou dans le hall pour accueillir les invités. Toutefois, les fleurs coupées tendent toujours à se faner très vite. Ainsi, il est plus prudent de prendre les mesures nécessaires si vous voulez que les fleurs de vos bouquets gardent leur forme beaucoup plus longtemps.

L’importance de l’hydratation

Si vous vous occupez vous-même de couper les fleurs, il est primordial de bien choisir le bon moment. Effectivement, il n’est pas très avantageux de cueillir les fleurs vers la fin d’une longue journée d’été comme il ne l’est pas non plus après les grands coups de soleil en midi. Le moment idéal serait très tôt le matin. C’est le moment après lequel les plantes ont reconstitué leur force et ont absorbé assez d’eau. Il est alors indispensable de marquer, que même coupées, les fleurs doivent être bien hydratées sauf pour certains cas comme les jonquilles et les tulipes. Le niveau de l’eau dans la vase doit arriver à la moitié des tiges. Il faut aussi changer l’eau du vase quotidiennement. Par ailleurs, il faut retirer les fleurs fanées à chaque fois qu’il y en a.

L’exposition idéale à la lumière

Pour garder la couleur des fleurs coupées, il faut veiller à bien choisir son emplacement. Effectivement, l’exposition à la lumière joue un grand rôle dans la pigmentation des fleurs. Dans tous les cas, il est préférable de ne pas mettre les bouquets dans un endroit qui est exposé à une forte lumière du soleil. Les rayons solaires activent aussi la dégradation des pétales.

Donc, il faut à tout prix éviter la température trop élevée et l’ensoleillement excessif. Éloignez votre vase des sources de chaleur qui risquent de les abîmer.

Quelques astuces de grand-mère pour conserver les fleurs coupées plus longtemps

Les astuces de grand-mère sont aussi très efficaces pour prolonger votre superbe bouquet.

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